Messes

 

MARS


Semaine Sainte

Jeudi 28 : Jeudi Saint
20h00     ND du Val

Vendredi 29 : Vendredi Saint, messe de la Passion du Christ
20h00     ND du Val

Samedi 30 : Vigile Pascale
 21h00     ND du Val, baptême d’adultes

Dimanche 31 : dimanche de Pâques
9h30       Gouvernes
11h00     ND du Val, baptême des jeunes de l’Aumônerie

A partir du 16 février, durant le temps de Carême,
Chemin de croix tous les vendredis à 15h à ND du Val.

 

 

Les messes en semaine :
Mardi, mercredi et jeudi 19 h 00 N.D. du Val
Mardi à 18h25, rosaire avant la messe
Jeudi à 19h30, après la messe, adoration
Vendredi 12h15 en période scolaire, messe au collège Rondeau
 

 

Agenda
Horaires des Messes

 

mod bulletin

Centre Pastoral
33 bd Thibaud de Champagne
77600 Bussy St Georges

Tél 01 64 66 39 92
Courriel

Les 10 ans de l'église Notre-Dame du Val

Extraits du bulletin NDVAL Infos de mars 2009

Une Eglise en fête

Cela pourrait être le thème des dix ans de l'église Notre Dame du Val, que nous allons célébrer les 21 et 22 mars prochain.

Avec le recul du temps, je mesure l'audace que vous avez eu avec le Père Raymond Guérin et Monseigneur Louis Cornet, qui était l'évêque de Meaux, de vous lancer dans une telle aventure.
La construction de l'église a permis non seulement de construire un bâtiment - signe posé au cœur de la ville - mais surtout une communauté, qui se rassemble, célèbre, vit la solidarité et qui est envoyée en mission pour témoigner du Christ.

Nous avons voulu à la fois retrouver ceux qui ont muri le projet, mais aussi l'équipe de construction, et rendre grâce à Dieu pour ce que cela a permis sur le secteur pastoral du Val de Bussy.
Cette fête des dix ans de l'église ne se veut pas être une fête d'anciens combattants. C'est l'occasion de porter un regard sur ce que nous avons vécu afin de mesurer les déplacements opérés, pour ensemble continuer à bâtir l'Eglise de demain sur ce secteur III de Marne la Vallée, qui vous le constatez est toujours en pleine mutation.

Nous ne pouvons pas penser l'avenir de notre Eglise à partir du nombre de prêtres ou du nombre de messes célébrées dans chaque commune. Le centre pastoral a permis de dépasser cela, et de créer une dynamique, qui rend la communauté chrétienne signifiante sur le secteur.
Ensemble nous avons donc réussi un centre pastoral. Il nous faut être vigilant pour ne pas faire du centralisme et faire en sorte que les chrétiens soient attentifs à ce qui se vit dans chaque commune. Localement, que chacun prenne des initiatives pour qu'une présence chrétienne soit repérable sur chaque lieu d'habitation.

Le conseil pastoral travaille cette question de la proximité et porte le souci d'une présence chrétienne au plus près des habitants. Pour cela nous prenons le temps de partager ce qui se vit localement, mais aussi ce que chacun engage de la foi, dans les différents lieux où il est impliqué.
Je me réjouis que différents groupes de partage et de lecture biblique aient vu le jour sur le secteur, que des gens se forment. En effet, il nous faut travailler notre identité chrétienne et en même temps nous ouvrir à ceux qui ne partagent pas notre foi.

C'est là, dans cette écoute de la parole de Dieu et de ce que nous entendons de la vie des gens, qu'il nous faut nourrir notre vie de prière, et célébrer l'Eucharistie qui constitue l'Eglise comme corps du Christ, envoyée dans ce monde que Dieu aime. L'Evangile façonne notre comportement, nous avons à devenir prophète, c'est-à-dire que notre communauté chrétienne doit questionner la société, pour qu'elle ne fasse pas de l'homme une marchandise, et de l'argent une idole.

Vous avez bâti une église, puissions nous ensemble continuer de construire une communauté chrétienne ouverte et accueillante à tous.

Père Pierrick Lemaître


Nous fêtons l'anniversaire de la dédicace de notre église,
de quoi s'agit-il au juste ?

Peut-être avez-vous déjà fait dédicacer un livre, un disque, une photo ? C'est une manière de marquer le lien qui vous unit à l'auteur, et pour l'auteur de faire hommage au destinataire de son œuvre.

L'Eglise (avec un É majuscule), c'est l'assemblée des chrétiens convoquée au " nom du Père, du Fils et du Saint Esprit ". L'église (avec un é minuscule) désigne aussi le bâtiment construit par les hommes et dans lequel se réunit l'assemblée des chrétiens.
Lorsqu'une communauté chrétienne, comme il y a 10 ans les membres de notre paroisse, construisent une église c'est pour rendre le culte à Dieu, seul destinataire de cette œuvre. Comment marquer ce lien qui unit Dieu à la communauté des chrétiens rassemblée en son nom dans ce lieu qu'elle a construit ? Par une dédicace, c'est-à-dire en dédiant ce lieu à Dieu, en définissant sa nature sacrée, en le " consacrant ". La Dédicace est une célébration solennelle.

Le Chanoine Norbert Hennique, Directeur du service national d'art sacré, a présenté le rituel de la dédicace d'une église le 26 juin 2008 au Colloque de la Cité du Patrimoine. Voici des extraits de son intervention :

" Le rituel de la dédicace est compté à bon droit parmi les actions liturgiques les plus solennelles et les plus riches de signification. En consacrant par ses rites un édifice matériel fait de mains d'hommes, la dédicace exprime le mystère même de l'Eglise, temple de Dieu construit de pierres vivantes. Le mot " église ", dont l'étymologie signifie " assemblée ", est alors attribué à l'édifice dans lequel la communauté chrétienne se rassemble pour entendre la parole de Dieu, prier en commun, accomplir les sacrements, célébrer l'Eucharistie.

C'est une célébration solennelle présidée par l'évêque entouré des prêtres et en présence de la communauté chrétienne. Elle comprend la liturgie de la Parole, la prière de la dédicace, les onctions et la liturgie eucharistique.
La liturgie de la parole commence par le récit de la proclamation de la Loi de Moïse par le prêtre Esdras à Jérusalem en présence du peuple rassemblé. Les deux autres lectures sont à choisir parmi les textes proposés dans le Lectionnaire rituel. C'est l'évêque lui-même qui fait l'ostension solennelle du livre des Ecritures au peuple avant de le transmettre au lecteur : " Que résonne en ce lieu la parole de Dieu. " Ces lectures sont proclamées de l'ambon, " la table de la Parole " : " la dignité de la Parole de Dieu requiert qu'il y ait dans l'église un lieu adapté à sa proclamation et vers lequel, pendant la liturgie de la parole, se tourne spontanément l'attention des fidèles. ". Les préliminaires du Missel Romain précisent qu'il convient que ce lieu soit un ambon fixe aménagé en fonction des données architecturales de chaque église et non un simple pupitre mobile.

Après les lectures de la Parole, le rite proprement dit de la dédicace débute par le chant des litanies des saints, suivi de la déposition possible des reliques des martyrs ou d'autres saints. La grande prière de la dédicace, chantée par l'évêque les mains étendues, développe avec ampleur la théologie du mystère de l'Eglise dont l'église-bâtiment est le signe. L'évêque procède ensuite aux rites symboliques en commençant par la consécration de l'autel avec l'onction du Saint Chrême (l'huile consacrée par l'évêque à la Messe Chrismale et qu'il sert à oindre les nouveaux baptisés, les mains des prêtres et la tête des évêques à leur ordination, à signer les confirmants). L'onction est ensuite étendue sur les douze croix de consécration fixées aux parois de l'église, rappelant ainsi le verset du livre de l'Apocalypse évoquant l'Eglise du Christ fondée sur les " douze apôtres de l'Agneau inscrits sur les murs de la Cité Sainte ". L'église est ainsi consacrée tout entière au culte chrétien.

Après le rite de l'onction, l'encensement de l'autel figure parmi les rites les plus expressifs lorsque les flammes recouvrent l'autel, qu'un nuage d'encens s'en dégage, que l'odeur parfumée envahit l'église. Comme le rappelle la Constitution conciliaire sur la liturgie : les rites seront suffisamment clairs pour ne pas nécessiter " de nombreuses explications pour les comprendre ". La liturgie exerce ainsi une fonction catéchétique par ses rites, ses gestes et ses

Après que les ministres aient parcouru la nef pour encenser le peuple et l'édifice, c'est alors l'illumination de l'autel suivie par celle des bougies fixées aux croix des murs. L'illumination a un caractère d'inauguration. De l'autel, la lumière se propage à tout l'édifice, en signe de joie, tandis que le diacre dit à haute voix : " Que resplendisse dans l'église la lumière du Christ et que parvienne à tous les peuples la plénitude de la vérité ! "

Désormais, tout est prêt pour le rite essentiel de la célébration eucharistique : l'autel est recouvert d'une nappe tandis que l'évêque reçoit les offrandes à son siège. Le baiser de l'autel n'a lieu qu'à ce moment. Une préface propre ouvre la Prière eucharistique qui comporte des intercessions particulières.

Cette présentation du rituel de la dédicace d'une église est loin d'être exhaustive. Elle rappelle la vocation d'une église comme lieu cultuel catholique. La consécration composée de prières et de rites particulièrement solennels fait de chaque église une véritable maison de prière, quelle soit une grandiose cathédrale au cœur d'une cité ou l'humble église d'un village rural.

La " Domus orationis " est le lieu où les fidèles se rassemblent dans l'unité, où ils adorent en esprit et en vérité, où le peuple chrétien se construit dans la charité. Ce regard ne saurait faire oublier que chaque église est ouverte à tous, qu'elle n'est fermée à personne.

Je laisse le soin de conclure à un évêque, Balaï le Syrien, au début du V° siècle, consacrant une église près d'Alep :
" Cette demeure n'est pas une simple maison mais le ciel sur la terre car elle contient le Seigneur. Si tu veux le scruter, il est tout entier dans les hauteurs, mais si tu le cherches, il est entièrement présent sur terre. Si tu t'efforces de le saisir, il t'échappe par sa transcendance, mais si tu l'aimes, il est tout près de toi. Si tu l'étudies, il est au ciel, mais si tu crois en lui, il est dans le sanctuaire. Et pour qu'il reste avec nous, les hommes de la terre, nous lui avons construit une demeure ; nous avons dressé l'autel, table où l'Eglise mange la vie. "


(Source : http://www.patrimoine-religieux.fr/ Colloque du Ministère de la Culture le 26-27 juin 2008 à la Cité de l'Architecture et du Patrimoine : "Eglises des villes, églises rurales, un héritage en partage" (programme à télécharger : Intervention du Chanoine Norbert Hennique, Directeur du service national d'art sacré, Intervention de Monseigneur Minnerath, Archevêque de Dijon.)


La construction de notre église : une histoire humaine extraordinaire
d'un bâtiment qui a façonné notre paroisse !

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Pour parler des 10 ans de notre église nous avons rencontré une des personnes qui, au sein d'une équipe motivée, dévouée et très organisée a contribué à passer du rêve à la réalité. Elle nous parle de la manière dont elle a vécu cette aventure qui a duré 4 ans.


BONJOUR, QUI ETES-VOUS ?
Je suis Marie-Noëlle MINARD. Je suis installée dans le secteur depuis les années 80. Avant d'être sur le secteur naissant de Notre Dame du Val (nous allons y revenir) nous étions sur Val Maubuée. Avec mon mari, nous avons toujours été impliqués.

POUVEZ-VOUS NOUS DIRE QUELQUES MOTS SUR LA GENÈSE DU PROJET ?

C'est Monseigneur CORNET, alors évêque de Meaux qui a lancé l'idée à la fin des années 80. Devant une ville nouvelle de Marne La Vallée qui se dessinait, le besoin d'un grand lieu de rassemblement catholique émergeait. Autour du Père Bernard MORRIS, curé de l'époque, une équipe a été constituée pour réfléchir à ce projet.

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RAFRAICHISSEZ-NOUS LA MEMOIRE, A LA FIN DES ANNEES 80
À QUOI RESSEMBLAIT BUSSY ?

Ah ! C'est vrai que ça paraît si loin et si différent ! Peu de paroissiens ont connu cette époque. Le village comptait environ 600 habitants et le presbytère était si petit que des groupes d'aumônerie se mettaient dans les escaliers !

Même en 1994, à l'époque de la construction du lycée Martin Luther-King, désormais bien connu, il faut imaginer combien ont était " au milieu de nulle part ".

COMMENT LE TRAVAIL S'EST-IL ORGANISE ?

Le travail a été organisé avec une vingtaine de personnes autour du curé. Puis se sont joints des " spécialistes " ou des bénévoles investis sur tel ou tel aspect du projet. Nous n'avions que très peu de moyens.

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Quand je me suis jointe au projet, les réflexions étaient encore à un stade intellectuel. Mais c'est justement cela qui était si exaltant : nous avons pu " rêver notre église ". L'idée était de définir l'église idéale pour une communauté naissante et grandissante (dont nous ne connaissions d'ailleurs pas encore les justes contours). Partant de la feuille blanche, nous avons beaucoup échangé, débattu et exposé des projets plus ou moins réalistes. Je me souviens de l'idée d'un parking souterrain payant sous la nef pour financer l'église ou ce lieu d'accueil permanent pour SDF. Ou encore cette idée de salle géante sous l'église pour accueillir en permanence un maximum de jeunes venant du lycée voisin. Ces pistes traduisent en fait tout ce dont nous voulions pour notre secteur. Réfléchir aux murs nous a conduits à imaginer comme " habiter " ces murs.

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… MAIS N'Y A-T-IL PAS EU LE RETOUR A LA RÉALITE : TROUVER L'ARGENT !

Oui, quand nous avons commencé à parler d'argent, le concret a fait place aux rêves. Grâce aux compétences de certains d'entre nous, en particulier Yves COUASNET et Michel BAZERBES, les premiers chiffrages ont établi que nous allions devoir tabler sur un budget de 20 millions de francs (3 millions d'euros). L'évêché finançait la moitié. Restait 10 millions de francs à trouver !
Nous avons mis en place une véritable stratégie marketing pour recruter des donateurs : achat de fichiers, mailings, relances, newsletters, etc. Nous avons multiplié les campagnes entre 1994 et 2003. Pour rendre un des envois plus attractifs, nous avons même pu compter sur le soutien d'Yves DUTEIL, qui a associé son image et ses mots de poète à nos tracts. Il existait un lien entre le chanteur et notre curé Raymond GUERIN.
A l'arrivée, ce sont près de 35 000 donateurs, petits et grands, qui ont rendu possible l'édification de cet bâtiment.
Ce qui l'a frappée, c'est que les donateurs nous livraient aussi un peu d'eux-mêmes : leurs remarques, leurs encouragements ou leurs témoignages. C'était touchant et très motivant.

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UN MOT SUR CE TRAVAIL D'EQUIPE ?

L'équipe du projet, a géométrie variable, autour des curés successifs, a été au centre d'une aventure humaine. Nous avons tous été très impliqués. Nous étions aussi très proches et ce chemin a crée de vraies amitiés. On n'a pas tous les jours l'occasion de travailler entre voisins à l'édification d'une église ! Que de souvenirs !

Et puis il y a toutes ces étapes et ces compétences que nous avons eu à mobiliser. Je me rappelle quand nous avons pris contact avec des architectes et que nous avons organisé le choix des projets présentés.
En outre, toute cette énergie mise au service de ce projet nous a considérablement enrichis. Quand on donne, on reçoit tellement !


QUELLE A ETE LA CHRONOLOGIE DU PROJET ? QUAND " LE GRAND JOUR " EST-IL ARRIVÉ ?

La première pierre a été posée en 1997. La première messe a eu lieu pour Noël 1998.
En parallèle, les collectes de fonds se sont étendues sur plusieurs années. Le cycle principal du projet aura quand même duré 4 ans.

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La construction et l'achèvement de l'église était un point de départ, pas un aboutissement. C'était une étape dans la vie de notre paroisse naissante qui avait là un lieu, avec l'ensemble des autres églises du secteur, pour se rassembler et construire ensemble une nouvelle dynamique dans un territoire en mutation.
Les personnes clés qu'ont été Monseigneur CORNET, les curés Bernard MORRIS et Raymond GUERIN ainsi que le père Louis ALDAITS ont été selon moi les catalyseurs du projet.


UN MOT DE CONCLUSION ?

Je veux insister sur le fait que pour nous tous, le projet de construction s'est toujours inscrit dans l'idée de développement du secteur paroissial. Ces murs ont du sens par ce qu'ils contiennent. On peut observer que c'est par l'existence de cet édifice que la communauté s'est ouverte : plus cosmopolite, pluriculturelle. Ceci a, il est vrai, aussi suivi le développement de la ville. Nous sommes fiers de ce qui a été réalisé. Cette église a façonné une paroisse.

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Désormais, c'est à d'autres à reprendre le flambeau pour répondre aux nouveaux défis de notre territoire. Je pense en particulier à la fraternité.

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télécharger  ici   l'affiche des 10 ans de l'église Notre dame du Val

Interview de l'un des membres de l'équipe projet Vidéo : les 10 ans de l'église Notre-Dame du Val

Pour en savoir plus vous pouvez vous procurer la brochure " Notre Dame du Val " disponible à l'accueil.

A l'occasion des 10 ans de Notre Dame du Val, un livret de photos sur sa construction sera édité et vendu à l'église les 21 et 22 mars.

Archives et plus d'informations sur le projet et la symbolique des vitraux : ici


 Grand témoignage de spiritualité à Bussy Saint Georges: l'église Notre-Dame du Val est sortie de terre il y a dix ans les 21 et 22 mars 2009

L'Eglise catholique du Secteur Pastoral du Val de Bussy, fête le dixième anniversaire de l'église Notre-Dame du Val, 33 boulevard Thibaud de Champagne à Bussy Saint Georges. C'est en effet le 22 mars 1999 que l'église a été consacrée par Monseigneur Louis Cornet , évêque de Meaux.

C'est en 1990, qu'une équipe de 25 bénévoles réunie autour des prêtres Bernard Morris, Raymond Guérin et Louis Aldaïts, chaleureusement accompagnée et encouragée par Monseigneur Cornet, a lancé et suivi la construction du centre pastoral Notre-Dame-du-Val.

Que soient salués ici les quelques 35 000 donateurs, répartis sur toute la France, qui ont généreusement participé au financement de l'opération initialisée par un investissement important de la part du diocèse de Meaux.

Rappelons ici pour mémoire qu'au démarrage du chantier, seuls quelques rares immeubles et la gare du RER semblaient perdus au milieu de champs de céréales. 10 ans après l'église est au cœur de la ville.

Construite pour accueillir les chrétiens de la ville nouvelle, alors en plein essor, Notre-Dame du Val est le centre pastoral du secteur regroupant les villes et villages de Bussy Saint Georges, Bussy Saint Martin, Chanteloup en Brie, Collégien, Conches, Ferrières en Brie, Gouvernes, Guermantes, Montévrain, et Saint Thibault des Vignes.

Lieu de parole et d'écoute Notre-Dame du Val contribue à tisser un lien de fraternité et de partage entre les habitants nouvellement installés, et à développer l'entraide et la solidarité.

Pour fêter les dix ans de Notre-Dame du Val, plusieurs manifestations sont prévues pour accueillir un large public :
- Une exposition de photos dans l'église le samedi 21 mars après-midi, retracera la construction et les 10 années de Notre-Dame du Val.
- Un concert gratuit sera donné dans l'église le samedi 21 mars à 20h30 par l'orchestre et les chorales du Conservatoire de Bussy Saint Georges.
- La messe solennelle le dimanche 22 mars à 11h sera célébrée par Monseigneur Albert Marie de Monléon, évêque de Meaux.
- La messe se prolongera par un moment convivial au cours d'un apéritif servi sur le parvis de l'église.

Bienvenue à tous les 21 et 22 mars 2009 en l'église de Notre-Dame du Val.